J’ai diminué mes quantités car je me suis aperçue que je mangeais trop – Y.

Comment en es tu arrivée à cette conclusion là?

J’AI EU UN DÉCLIC QUAND J’AI REGARDÉ UN SOIR L’ASSIETTE DE MON AMI PUIS LA MIENNE
ICI EN MARTINIQUE NOS PLATS SONT BIEN COPIEUX AVEC DU RIZ, DE LA SAUCE, DES LÉGUMES PAYS… – Y.

« Je connais les assiettes antillaises (merci )
Mais ça explique pas, ça justifie pas, que tu manges trop parce qu’il yen a plus dans ton assiette que dans la sienne vos besoins sont pas forcément les mêmes, ton métabolisme est peut être plus rapide (que le sien même si c’est un mec et toi une femme!).

Par exemple quand je voyais les repas de ma collègue, je trouvais ça ridiculement ridicule elle bouffait rien et 3h après elle avait faim! Alors que moi une gamelle finalement proche mais avec des légumes en plus (ce qui pouvait sembler avoir une grosse gamelle) et j’avais faim que 8h après voir 9 (et non c’est pas grâce aux légumes que je tenais plus longtemps ) J’ai fini par comprendre qu’elle avait un petit estomac qui pouvait contenir très peu mais en plus un métabolisme très rapide.

Alors que moi, un estomac énorme que je suis obligée de contrôler car un métabolisme merdique qui dépense pas!

Le contenu de ton voisin ou de ta voisine ne peut pas définir, justifié, calibré tes besoins à toi… la preuve… trop réduit (te provoque des) crises parce que tu as faim après  » C’est bizarre comme on arrive à de telle conclusion alors que lorsque l’on regarde l’assiette de son voisin qui mange beaucoup, on se dit JAMAIS qu’on devrait mangé plus nous aussi mais AU CONTRAIRE qu’on ouvre grand les yeux pour s’exclamer sur le contenu et affirmer qu’il mange beaucoup.
En fonction de son aspect physique, en conclure (et JUGER) soit « qu’il peut se le permettre vu comme il est » ou « qu’il ferait mieux de réduire »

Les croyances vont dans le sens où l’on veut aller, où elles nous arrange, où elles coïncident avec ce que l’on a envie de croire.
Elles renforcent ainsi nos propres croyances et nous font croire ensuite qu’on a raison, qu’on est dans le vrai.

Attention mes tortues, et surtout faites attention à votre santé, à vos besoins, à votre réalité et non pas à ce que vous fait croire à celle des autres

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